Châlonnais et fier de l'être

Léon Bourgeois Apôtre & prix Nobel de la Paix

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Description

Léon Bourgeois Apôtre & Prix Nobel de la Paix - Chronique de la Haye à Genève recueillie  par Bruno Malthet


Disponible 

Chronique publiée aux éditions du Petit Catalaunien Illustré - 340 pages N&B dont 33 planches d’illustrations,
format 16 x 24, couverture en 300 gr/m², pages intérieures en 80 gr/m², dos carré collé, env. 0,560 kg. Prix public : 25,00 € Tirage limité. 

« Nous sommes, nous l’avons dit bien souvent, et nous tenons à le répéter encore une fois, non des rêveurs de la paix, mais des réalisateurs de la paix. Ce que nous voulons énergiquement, c’est que la force ne puisse être que la servante et la gardienne du droit. » Ainsi s’exprimait Léon Bourgeois pour justifier le combat qu’il a poursuivi inlassablement en faveur de la paix universelle aux conférences de la Haye en 1899 et 1907, à Paris lors de la fondation de la Société des Nations en 1919 et à Genève devant l’Assemblée des Nations en 1920.

Tel est le fil conducteur de cette chronique. Elle débute à La Haye en 1899 pour se terminer sur les hommages que la Marne et Châlons rendirent à leur illustre compatriote. Ils venaient prolonger localement les ovations unanimes qui, à l’annonce de l’attribution de son prix Nobel de la Paix le 10 décembre 1920, acclamèrent à Genève le représentant de la France à l’Assemblée des Nations.

Bruno Malthet a recueilli cette chronique en dépouillant les deux journaux châlonnais de l’époque, l’Union Républicaine et le Journal de la Marne. Chacun à leur façon, ils ont rendu compte des événements se déroulant à La Haye et à Genève. Le premier avec un enthousiasme débordant, le second avec le plus grand des scepticismes et en usant, souvent avec outrance, de la polémique. Là où l’un se fit l’écho des « premiers battements du cœur de l’humanité » que Léon Bourgeois entendit à La Haye, l’autre n’y vit que des chimères, autant, si ce n’est plus, par esprit de contradiction que par conviction. Ce contraste entre ces deux journaux n’est jamais que le reflet de l’opinion publique. Cette chronique nous la restitue en mêlant judicieusement à la grande histoire qu’écrivit Léon Bourgeois des photos et dessins de presse contemporains de ces faits.

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